24 février 2012 5 24 /02 /février /2012 15:11

http://i48.servimg.com/u/f48/17/28/76/28/19935310.jpgLa guerre qui oppose les vampires et les Lycans depuis des siècles connait une ère nouvelle suite à la découverte récente de leur existence par les humains. Ces derniers ont décidé de cesser leurs conflits internes afin de s'unir pour combattre cette menace qui plane sur la Terre. Sélène est finalement faite prisonnière par l'armée et convoiter par les scientifiques afin de créer un futur vaccin contre ce fléau. Elle réussit néanmoins à s'échapper du laboratoire où elle était prisonnière et se retrouve poursuivis par l'armée, les vampires et une nouvelle race de Lycans.  

L'histoire de ce quatrième film se passe après le deuxième. On retrouve Sélène (merveilleuse Kate Beckinsale) pourchassait par les humains et les lycans. Même si le scénario s'enlise un peu, le sujet du film est intéressant et prometteur. Les scènes d'actions sont toujours aussi spectaculaires et les deux réalisateurs s'en donnent à coeur joie dans les séquences de combat vu l'intensité et la vitesse de leurs exécutions.

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Encore méconnu du grand public, les deux réalisateurs Mans Marlind et Björn Stein, ont fait très fort pour leur première super production. Servi par une excellente photographie, "Underworld: Nouvelle Ere" est un renouveau dans l'univers de la saga Underworld et au vu du final il faudra s'attendre à un nouvel épisode voire à une nouvelle trilogie.    

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Bref "Underworld: Nouvelle Ere" a largement réussi sa mission de divertissement en nous donnant notre lot de bagarres survitaminés, de scènes d'actions spectaculaires et de séquences gores tout en maintenant le suspense sur le prochain épisode. A suivre...

Note: 7/10.

 

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 14:48

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image204.jpgDans sa maison, Margaret Thatcher vit une retraite à moitié paisible, à moitié agitée. N'étant plus Premier Ministre, son mari Denis étant décédé d'un cancer quelques années plus tôt, elle a parfois des hallucinations, elle revoit Denis interférer dans sa vie actuelle, tout en sachant bien qu'il est mort. Elle est aidée par des gouvernantes et par sa fille dans ses actions du quotidien, cependant certains objets ou évènements qu'elle voit à la TV vont lui faire revivre des périodes de sa vie, depuis sa jeunesse dans l'épicerie de son père, son entrée au parti conservateur comme ministre de l'éducation jusqu'à son ascension en tant que Premier Ministre, et finalement sa retraite de la vie politique.

J'ai été fasciné par ce magnifique film retraçant de manière surprenante les moments forts de la vie de Mme Thatcher, par flashbacks successifs. La prestation de Meryl Streep, comme je l'ai lu dans les médias avant d'aller voir le film, est saisissante. Actrice américaine, elle prend l'accent britannique avec tant de réalisme que l'on s'y méprendrait, elle nous montre une fois de plus qu'elle est une grande actrice - quelqu'un en doutait ?

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image254.jpgLes maquillages, habillages, coiffures sont aussi éblouissants. Attention ce n'est pas un film drôle, c'est une biographie / un biopic, et cette période de l'histoire de l'Angleterre n'est pas la plus reluisante, même si Lady Thatcher a fait ce qu'elle pensait juste pour maintenir son pays à flot et relancer l'économie, malgré les émeutes, les attentats terroristes de l'IRA (forces républicaines irlandaises), et les mesures impopulaires mais nécessaires qu'elle proposa. Elle joua un grand rôle dans la Guerre des îles Malouines (Falkland Islands), et par ses méthodes radicales, elle gagna le surnom de "La Dame de Fer", surnom attribué par les soviétiques en référence à son conservatisme et "anticommunisme".

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image344.jpgUn excellent film, pas seulement destiné aux amateurs de politique internationale, mais à tous qui voudrait découvrir la vie de la première et unique femme Premier Ministre du Royaume-Uni  et l’une des femmes les plus célèbres et les plus influentes du XXème siècle.

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 13:33

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/dl10.jpgJohnny et Elisabeth se rencontrent pour la première fois dans un bar et là c'est le coup de foudre. Ils deviennent très vite inséparables mais une nuit, Johnny est victime d'un grave accident de la route et son temps est compté. Voyant Elisabeth déboussolé, Seth, un mystérieux proche de la jeune femme qui se tient à distance tout en la protégeant depuis son enfance, tente le tout pour le tout et décide de le sauver de la seule manière qu'il peut en le transformant en vampire. Les choses ne seront alors plus ce qu'elles étaient car Johnny sera de plus en plus avide de sang frais humain.

Lancé sur le succès des films de vampires pour ados initié par le très célèbre "Twilight", une petite production indépendante Old School Pictures (construite avec les moyens du bord par le réalisateur, le scénariste et l'acteur Allen Gardner qui interprète le rôle de Seth) au budget certes limité mais ayant déjà à son actif quelques productions très peu connues outre-atlantique comme Fallout", "The Patch of Fear" ou encore "Halloween 2000" tente alors de proposer une version vampirique beaucoup plus adulte que ces "confrères". En effet, là où "Twilight" se contentait d'un scénario très léger en matière de globule rouge, de violence, de sexe et autres ingrédients classiques du film de vampire (voir le "Vampires" de John Carpenter) privilégiant davantage le côté technique avec des effets visuels soignés et des scènes d'action nombreuses (enfin cela dépend du film) et principalement réussies, ici, le côté "old shcool" préfère se concentrer sur un scénario plus poussé et plus réfléchi exploitant davantage le côté sombre des vampires, le sacrifice de l'être aimé ou encore l'aspect psychologique et symbolique du héro devenu anti-héro...

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/dl210.jpg"Daylight Saga" possède certes quelques faiblesses (je pense en particulier aux scènes de voiture dont l'incrustation n'est pas très au point) mais au final le film nous réserve son lot de rebondissements avec un final épatant mis en avant par une musique que j'ai particulièrement apprécié. Le réalisateur a aussi privilégié une histoire certes de vampires mais sans tomber dans les chichés un peu trop fantaisistes du genre comme les gousses d'ail, la transformation en chauve-souris ou du visage au moment de mordre et aussi en limitant les scènes gores (je n'ai pas dit qu'il y en avait pas, rassurez-vous...) pour se concentrer plus sur les personnages, leurs sentiments, leurs destinées...

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/dl310.jpgBref, malgré quelques défauts techniques en raison d'un budget limité, cette production indépendante s'avère être une bonne surprise qui a su exploiter au maximum le potentiel d'une histoire romantique sur fond de drame sentimental saupoudré d'une touche de fantastique et d'horreur avec le thème actuel de prédilection des ados : le vampirisme.

Note : 6,5/10.

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 14:11

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image109.jpgChloé s'apprête à se marier avec l'homme de sa vie, un ex champion de tennis reconverti dans les affaires, elle a donc tout pour être heureuse... Une chose tout de même à régler, quel père idéal doit-elle choisir pour la conduire à l'autel ?...

Chloé, joué par la chanteuse Olivia Ruiz, dont on ne l’avait jamais vu au cinéma, entouré des plus grands dans cette comédie. Dans ce film, le problème de Chloé, la future mariée, soutenue par sa meilleure amie, c’est qu’elle n’a pas de père pour la conduire à l’autel...

Enfin bref, un jour elle n’en a pas et les jours suivants en voilà deux sorti d'où on ne sait où ? Mais lequel choisir ?Surtout pour un jour aussi important et magique que celui là pour la future mariée, il ne faudrait pas faire le mauvais choix. Ce film est une comédie à la fois drôle et avec des passages musicaux.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image251.jpg Jusqu’au jour "J," Chloé va devoir savoir lequel des deux pères va la conduire devant l’homme de sa vie et son futur époux. Malheureusement un jour comme celui là est déjà assez stressant entre le traiteur, le pâtissier, les invitations, la robe, le costume, les essayages sans en plus rajouter le choix du père. Non, vous n’êtes pas d’accord avec moi mesdames. Messieurs, qui vous, devaient supporter ses dames, leurs amies et souvent leurs mères ou même parfois la famille, les mois précédents le fameux grand jour. Juste une petite parenthèse, je n'ai pas parlé du marié car je trouve qu’il participe très peu au mariage et au préparation de ce jour, après tout chacun son avis. Mais ne vous inquiétez pas, il participe au film... Parlons plutôt de la mariée car c’est elle qui a un gros problème avec ses deux pères et tout le film me semble basé sur cette facette de l’histoire.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image342.jpgBref, une comédie contenant un humour et des gags hilarants, sympa à regarder.

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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 15:26

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image107.jpgA l'aéroport de Los Angeles, les passagers pour le vol en direction de Nashville embarquent... Au cours du voyage, un des passagers tombent grièvement malade et force les pilotes à atterrir d'urgence. Une fois l'avion sur le sol, de curieux évènements vont se produire. C'est alors que Jenny, une hôtesse de l'air inexpérimentée, s'assure de la sécurité de ses passagers et se rend vite compte que l'appareil et ses occupants sont mis en quarantaine...

Avec le succès de "[REC] 2" et le semi-succès de "En quarantaine", les producteurs américains se sont de nouveau lancés dans l'exploitation de cette franchise mais cette fois-ci en délaissant complètement le scénario de l'original, qui en avait fait sa force, pour une histoire centrée sur la propagation d'un mystérieux virus qui rendrait les humains violents et avides de chair (cela ne vous rappelle rien ?...). En fait, ils suivent leur propre version du film "En quarantaine" en élaborant une suite dans le même contexte mais dans un décor différent : un aéroport.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image249.jpgMalgré un scénario un peu léger, "En quarantaine 2" se regarde agréablement bien avec une intrigue bien mené et un suspense qui va crescendo. Les effets gores sont bien sanglants et réussis, le maquillage des "zombies" reste convenable et la réalisation soignée. En ce qui concerne les acteurs, pour la plupart, ce sont des inconnus mis à part Josh Cooke pour les fans de la série "Dexter".

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image341.jpgEn bref, "En quarantaine 2" n'est certes pas d'une originalité frappante mais cela reste, dans son ensemble, un film de "zombies" sympathique et divertissant qui vous fera regretter d'avoir pris un billet d'avion.

Note : 6/10.

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 16:07

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image102.jpgNous suivons l'histoire de Bobby Darin, chanteur et musicien américain, son enfance, ses débuts de carrière dans la chanson puis dans le cinéma, sa vie amoureuse, son incommensurable succès durant les années 50-60 le propulsant au devant de la scène, une véritable star connue dans le monder entier. Ses problèmes de santé, ses soucis familiaux, son renouveau et sa fin...

Pour son nouveau long métrage, Kevin Spacey a fait très fort ici car non seulement il interprète le personnage principal du film soit le chanteur Bobby Darin mais sur ce projet, qui lui tenait à coeur car étant fan du musicien, il est aussi scénariste, producteur et réalisateur. Rien que ça... Et bien, au final, il s'en tire plutôt bien, le scénario tient la route avec au programme des moments forts, émouvants, dramatiques que l'on découvre sur la vie du célèbre chanteur à qui l'on doit des titres comme "Beyond the Sea" (entendu dans le film "Le monde de Nemo") mais aussi "Dream lover" (dans le film Hot Shots) tout ceci réalisé par une main de maître par l'acteur/réalisateur qui s'applique à concevoir des plans bien travaillés (je pense à certaines transitions pour passer d'une scène à une autre...) ajoutant ainsi une plus-value à la réussite technique du film.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image246.jpgEn ce qui concerne la musique et les chorégraphies, nous retrouvons avec un certain plaisir les chansons de Bobby Darin chanté merveilleusement bien par l'acteur lui-même, une belle prouesse quand on sait qu'il doit aussi danser à travers des chorégraphies adaptées aux années 50. Ces dernières sont étonnantes, entraînantes et surtout elles apportent un second souffle à l'intrigue.

Côté casting, de premier ordre, avec en tête de liste, la ravissante Kate Bosworth, John Goodman et Bob Hoskins. Bref, ici aussi, rien à redire, tous convaincants dans des rôles sur mesure.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image339.jpgEn résumé, Kevin Spacey rend, à travers cette biographie racontée sans artifices, un très bel hommage à l'artiste interprété avec talent par un acteur au sommet de sa forme.

Note : 8/10.

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7 février 2012 2 07 /02 /février /2012 14:34

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image530.jpgJimbo Farrar fait partie des rares personnes capable de contrôler l'esprit humain grâce à ses hautes capacités intellectuelles. Son pouvoir est certes incroyable mais totalement incontrôlable car, étant enfant et sous le coup de la colère et de la peur, il a inconsciemment forcé ses parents à s'entretuer. Devenu adulte et menant une vie paisible avec sa femme Ann, Jimbo n'a plus qu'une idée en tête : retrouver des êtres surdoués comme lui aux quatres coins de la Terre ayant les mêmes facultés extraordinaires. Après des années d'attente, le jour est arrivé, cinq adolescents correspondent à ses critères de recherche. Le moment est venu alors de les rencontrer...

Cette production partiellement française est une réussite totale que ce soit par l'originalité de l'animation à travers son univers coloré si particulier et recherché ou que ce soit par la réalisation et le scénario tout deux à la hauteur des espérances face à des personnages aux caractères bien différents les uns des autres loin des stéréotypes habituels des grosses productions américaines.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image100.jpgCe que l'on peut dire de "The prodigies", c'est qu'il s'agit certes d'un film d'animation mais il fait partie des films traitant de sujets tout à fait sérieux mais néanmoins classiques de nos jours : la période de l'adolescence et son refus d'obéissance face à la société dirigé par les adultes, la violence, le harcèlement sexuel et j'en passe... Une histoire prenante au service d'une intrigue riche en rebondissements nous plongeant dans un monde contrasté par le bien et le mal au milieu d'une société en péril. Surprenant, époustouflant et parfois même choquant.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image245.jpgEn résumé, "The Prodigies" est une réussite incontestable en raison d'une animation soignée, originale, recherchée et captivante, mais aussi d'un scénario très bien ficelé avec des scènes spectaculaires tout ceci enfoui dans un monde coloré où chaque scène est minutueusement travaillé pour un rendu... prodigieux.

Note : 9/10.

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6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 14:43

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image244.jpgDans une maison de banlieue, Will et Lynn Cameron se sentent en sécurité avec leurs trois enfants. Un jour, Annie, leur fille de 14 ans, rencontre un nouvel ami sur internet par l'intermédiaire d'un forum. Il se prénomme Charlie et a 16 ans. Le jeune couple ne s'inquiètent et trouvent cela normal que des adolescents discutent grâce aux nouvelles technologies. Après des semaines de conversations en ligne, Annie ressent de plus en plus d'affection pour Charlie qui, malgré quelques mensonges, restent fasciné par lui. Jusqu'au jour où tout basculera pour elle et sa famille...

Tout le monde se sent en sécurité sauf le jour où un incident nous arrive et là on se dit que ça n’arrive pas qu’aux autres. "Trust" raconte l’histoire d’une adolescente qui se laisse manipuler et attendrir sur internet par un jeune garçon qui se révèle être un homme d’un certain âge et qui ne correspondait pas à celui avec qui elle parlait mais plutôt un pédophile, mais malheureusement elle s’en rencontre bien trop tard car elle a justement accepté un rendez vous en pensant que ça serait le jeune garçon et non l’homme qui se présenterait. Dans ce film, le réalisateur ne nous prend pas la tête avec les méthodes et moyens déployés pour arrêter cet homme, comme dans tous les autres films du même genre. Non, celui là met en avant la détresse d’une adolescente de 14 ans, de sa vie qu’elle doit reconstruire après un tel acte, se faire de nouveau confiance en elle et à son entourage et bien sûr réapprendre la vie de famille avec ses parents. 

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image338.jpgMalgré le soutien ou pas des parents, elle doit elle-même y faire face. Quant aux parents, ils ne doivent pas montrer leur tristesse et leur honte de s’en être rendu compte trop tard. Ils doivent se montrer fort pour soutenir leur enfant dans cette épreuve. Epreuve dont aucun parent ne voudrait avoir à vivre une telle situation. Souvent les parents réagissent de deux façons pour la plupart du temps, par la colère ou par le déni au lieu d’exprimer leurs sentiments sans être tout blanc ou tout noir, il y a le gris. 

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image433.jpgCe film est là pour nous rappeler que le danger peut être derrière chaque porte que l’on ouvre et que l’on referme, visuelle ou virtuelle. Et dire que des situations du même genre arrive plus souvent que l’on ne pense, ça peut toucher notre amie, notre enfant, ou quelqu’un de proche ou même nous même. "Trust" est un très beau film, une remise à l’ordre pour tout le monde.

Note : 7/10.

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4 février 2012 6 04 /02 /février /2012 14:21

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image196.jpgKobe, été 1945, deux enfants, Seita et Setsuko, quittent leur foyer et fuient dans les rues de la ville afin d'échapper aux bombardements de l'armée américaine. Après avoir appris la mort de leur mère, et ne sachant pas où aller, ils décident d'aller se réfugier chez leur tante. Mais cette dernière commence, au bout d'un certain temps, à trouver les deux jeunes réfugiés un peu imcombrants obligeant les deux enfants à quitter la maison pour se réfugier dans un abri désafecté. Malheureusement la nourriture commence vite à diminuer et Setsuko tombe malade.

Inspiré de la nouvelle semi-autobiographique "La tombe des lucioles" de Akiyuki Nosaka, ce film d'animation japonais réalisé par Isao Takahata est un véritable chef d'oeuvre du genre. Produit en 1988 par le studio Ghibli, "le Tombeau des lucioles" fascine, dérange, choque parfois. Le travail du réalisateur sur la réalisation et la photographie rends le film presque aussi réaliste qu'un documentaire. Le souci du détail, des couleurs et de la mise en scène nous fait prendre conscience que ce film n'est pas un film d'animation comme les autres mais un voyage vers l'émotion, la pureté et la tristesse. Il est en effet difficile de retenir ses larmes pendant le film alors à vos mouchoirs...

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image243.jpgUne version du même nom aurait été réalisé en 2005 au japon avec des acteurs en chair et en os malheusement ce dernier reste inédit en France.

Note : 9/10.

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2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 15:20

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image337.jpgDepuis qu'elle a perdu son père disparu en mer, Umi, une jeune lycéenne habitant une maison en haut d'une colline du port de Yokohama, hisse face à la baie deux pavillons qui équivaut, pour elle, à un message lancé vers l'horizon. Au lycée, cela n'est pas passé inaperçu, Shun, rédacteur dans le journal local, a écrit un article sur cet émouvant signal...

Ce film est très richement illustré, raconte avec simplicité l’histoire du livre "La colline aux coquelicots". Cette histoire est facile à comprendre. Elle nous replonge dans l’atmosphère du Japon d’après-guerre. Un monde qui essaye de se reconstruire après avoir vécu des pertes matérielles et humaines. Seuls nos jeunes sont notre avenir et on nous le fait bien comprendre dans ce film d’animation. Moment d’apprentissage vital, cohésion de groupe, découverte de l’amitié et de l’amour, ce film nous permet d’observer tout cela, de découvrir et de redécouvrir l’éveil à la vie adulte. Il incite également les jeunes à prendre soin de ne pas séparer passé, présent et avenir, à les harmoniser, à respecter l’expérience et l’héritage des temps passés. Cette histoire captivera petits et grands par la beauté des dessins, le mystère de cette aventure, son ambiance gaie et festive. Nous plongeons dans le livre aussi aisément que dans le film et il nous rappelle de bons souvenirs de ce dernier. 

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image432.jpgNous avons également un autre regard sur l’Histoire et en particulier sur le Japon en lissant et en regardant cette aventure. Nous découvrons les trâces que la Seconde Guerre Mondiale a laissées dans la vie courante des japonais : une héroïne qui a perdu son père, un orphelin… des blessures qui sont longues à cicatriser. Le réalisateur nous a transcrit ici le Japon d'antan (vieux téléphones, marchés, bateaux, architecture...), des couleurs qui nous illuminent pendant tout le long du film. L'animation, quant à elle, est simple. 

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image529.jpgOn aime suivre ses personnages à la découverte de leurs sentiments naissants, la musique reste longtemps dans la tête après la projection. Un très beau moment de découverte d’un autre pays, leurs coutûmes, leurs mentalités... Jugez par vous-même.

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1 février 2012 3 01 /02 /février /2012 15:13

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image240.jpgJ. Edgar Hoover fut directeur du Federal Bureau of Investigation (FBI) depuis 1924 jusqu'à sa mort en 1972. Le film commence avec Hoover déjà à un âge avancé, il raconte ses mémoires à de jeunes agents qui les retranscrivent. Pendant qu'Hoover raconte, on voit des flashbacks successifs sur ses jeunes années, nous montrant alors ses débuts au Bureau of Investigation (ancêtre du FBI), puis la création du FBI, comment il l'a dirigé, etc., mais aussi les différents types de relations qu'il entretenait : avec sa mère, chez qui il vivait, avec son personnel et notamment sa secrétaire, mais aussi avec son bras droit, Clyde Tolson.

Réalisé et produit par Clint Eastwood, l'histoire de ce personnage est fascinante, interprété par un Leonardo di Caprio méconnaissable et surprenant. Montré avec justesse et objectivité (enfin je crois, d'après ce que j'en sais !), la biographie ne tombe pas dans la caricature. Les décors et accessoires des années 30 à 60 sont fidèles aux réalités des époques respectives. On voit au travers du film les différentes facettes de l'homme qu'il était, aussi bien d'un côté un dirigeant ferme, respecté, précurseur des méthodes modernes de classement et de police scientifique, et d'un autre côté un homme de controverses, que ce soit par rapport aux dossiers secrets qu'il aurait eu sur différentes personnalités, ou sur sa sexualité.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image335.jpgAu-delà de l'histoire j'ai aussi apprécié la "morale", si je puis dire, la réflexion avec laquelle je suis sorti du cinéma : tant qu'il y aura des crimes et des criminels, il faudra les pourchasser et les punir. Dans nos valeurs, la vie d'un individu est ce qu'il y a de plus précieux et l'amour est ce qu'il y a de plus fort. Pourquoi donc y a-t-il des gens qui ne partagent pas ces valeurs... ?

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image431.jpgSi comme moi vous voulez en savoir plus sur la vie d'Hoover, et vous faire votre propre opinion, allez voir ce film !

Note : 9/10.

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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 16:50

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image192.jpgLe film commence, pendant que les noms du générique apparaissent, avec des séquences d'un couple au début de son histoire, les moments de complicité, de jeu, de romance,... puis le mariage, la vie à deux, le quotidien, la lassitude qui commence... Ce couple est en fait composé d'Anne et de Marc Marronnier et ils sont sur le point de divorcer... après environ 3 ans. Le divorce est finalement prononcé et Marc est dévasté, Anne l'ayant quitté pour son "rival", l'écrivain Marc Lévy. Chroniqueur littéraire le jour, et chroniqueur en boîte la nuit, Marc Marronnier cherche à comprendre pourquoi ça n'a pas marché... Il se met alors en tête d'écrire un roman intitulé "l'amour dure trois ans", il trouve un éditeur, se fait publier sous pseudonyme et durant l'écriture, il (re-)rencontre un autre amour de sa vie, Alice, une femme mariée à son cousin, qu'il a rencontré lors de l'enterrement de sa grand-mère. Marc tombe fou amoureux d'Alice, mais ne lui parle pas de son roman... Les choses se gâtent quand Alice finit par découvrir que le roman est de Marc.

Adapté du roman éponyme de Frédéric Beigbeder, cette comédie réalisée par l'écrivain lui-même est assez légère et se laisse regarder sans prétention. C'est rigolo par moments, mais sans être hilarant, parfois un peu superficiel. Sans avoir lu le roman, je qualifierais l'adaptation de "guimauve", presque sans saveur... Les comédiens Louise Bourgouin et Gaspard Proust ne sont pas mauvais mais semblent un peu figés dans un certain style... Heureusement la présence de comédiens confirmés comme Bernard Menez, Anny Duperey, Valérie Lemercier (et JoeyStarr !...) viennent pimenter l'histoire.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image238.jpgAyant déjà vu et apprécié "99 francs", du même auteur littéraire (mais pas du même réalisateur), je m'attendais à mieux... Un moment sympathique de cinéma, sans artifice.

Note : 6/10.

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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 14:25

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image428.jpgWill Gérard mène une vie paisible jusqu'au jour où une mystérieuse organisation, constituée de citoyens décidés à faire leur propre justice, le contacte suite à la violente agression de sa femme. Elle propose à Will de venger sa femme en tuant le coupable en échange d'un petit service qu'il devra lui rendre ultérieurement. Il se rendra vite compte qu'il est pris au piège car pour effacer sa dette, il devra lui aussi éliminer un homme...

Ce film est un thriller d’action avec une intrigue sans héro, des acteurs et des scènes d’actions de très bonne qualité. Will Gérard, joué par Nicolas Cage, prof de lettres ordinaire dans un lycée, marié à Laura qui se fait violemment agresséer. Et comme d'habitude, l’homme veut se venger au lieu de faire appel à la justice et d’attendre qu’elle face son boulot...  Mais là seulement, ce n’est pas le mari qui se venge de l’agression de sa femme mais une organisation secrète de citoyens aux différents niveaux de la société. Bien sûr, le service n’est pas gratuit et donc Will devra payer sa dette envers cette organisation en leur rendant à son tour un service. Mais voilà, le service n’est pas si simple à réaliser car il doit tuer un homme... Malgré le fait que cet homme soit un pédophile et qu'il a une dette à régler, Will ne peut faire sa propre justice. Will, le personnage de Nicolas Cage, est convaincu que la violence n’est pas la solution à son problème et pourtant il va l’utiliser. Will est pris au piège, va-t-il faire ce que l’organisation lui demande ou bien va t-il y renoncé ?.... 

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image522.jpgScénario et acteurs sont à tout points formidables et convaincants. Cela nous fait réfléchir sur ce point : "Faire sa propre justice". Film agréable pour passer un bon moment.

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23 janvier 2012 1 23 /01 /janvier /2012 15:46

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image235.jpgL'action se passe dans une petite ville du Mississippi dans les années 1960. Skeeter Phelan est une jeune fille du sud, pétillante et fraîchement diplômée, déterminée à devenir écrivain. Elle va bouleverser la vie de ses ami(e)s - et d'une ville du Mississippi - quand elle décide d'interviewer les femmes noires qui ont passé leur vie à prendre soin de grandes familles blanches du sud. Skeeter est elle-même issue d'une famille dans laquelle elle a été élevée par une gouvernante appelée Constantine. Aibileen, la gouvernante de sa meilleure amie Elisabeth, est la première à s'ouvrir à Skeeter, après quelques hésitations, - à la consternation de ses ami(e)s de la communauté Noire, très soudée. Malgré les liens d'amitié de longue durée qu'a Skeeter avec d'autres filles blanches, elle et Aibileen poursuivent leur collaboration, et d'autres domestiques/gouvernantes viennent se présenter pour raconter leurs histoires... Il s'avère qu'elles ont beaucoup à dire ! Des amitiés peu probables se tissent lors de ces entretiens. Cependant certaines choses ne sont pas toujours bonnes à dire, surtout devant certaines personnes...

Produit par Dreamworks, Touchstone,... et distribué par Disney, ce film (a) séduit un large public. Non seulement il dénonce avec intelligence le racisme qui existait encore aux USA dans les années 60, mais il dresse aussi le portrait d'une société américaine en pleine évolution, peu avant que Martin Luther King et la communauté Noire se dressent contre les Blancs. Bien que le sujet soit sérieux et tiré de faits historiques (et adapté du roman éponyme), il se laisse regarder avec légèreté, certains passages déclenchant le rire des spectateurs. Les personnages sont attachants et hauts en couleurs, dans les deux communautés, et les décors années 60 sont assez soignés. 

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image331.jpgJ'ai passé un excellent moment de cinéma, dans une salle bien remplie (2 semaines après la sortie du film en Belgique). Pendant plus de deux heures on ne voit pas le temps passer tellement cette histoire est bien racontée, bouleversante et captivante. A recommander pour tout public à partir de 12 ans. 

Note : 9/10.

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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 14:33

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image182.jpgMike Kellerman se réveille brutalement et découvre avec étonnement que non seulement il est mort mais qu'il est un zombie qui parle. Déboussolé et désorienté, il tente de trouver de l'aide mais pas facile quand on est un mort-vivant, les humains lui tirent dessus et les autres zombies ne lui parlent pas. C'est alors qu'il rencontre Brent, un autre zombie, mais ce dernier a l'usage de la parole. Bien décidés, les deux compères partent à l'aventure à la recherche de la petite amie de Mike qu'il n'a pas vu depuis près de 3 ans et qu'il avait l'intention d'épouser.

A mi chemin entre le film de zombie et la comédie romantique, "Dead Heads" est un concentré de bonne humeur à la fois original et réussi et se révèle être ainsi une comédie bien sympathique. Et oui, comme quoi, on peut avoir un budget raisonnable et concevoir un film honnête et divertissant sans trop plonger sur les clichés des films de morts-vivants. Là où se révèle l'originalité de "Dead Heads" c'est que les héros de ce film sont des zombies qui, non seulement, parlent, sont intelligents et n'ont rien oublier de leurs vies passées.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image234.jpgCôté casting, l'ensemble de l'équipe entame, pour la plupart, leur premier long-métrage (idem d'ailleurs pour le duo des frères Pierce qui signe à la fois le scénario et la réalisation) mais cela n'empêche pas d'avoir affaire à une brochettes d'acteurs convaincants et à une réalisation soignée et étonnante (je pense surtout à la scène du début). Les effets spéciaux sont réussis (malgré le budget du film), le maquillage surprenant de réalisme et les C.G.I (effets visuels) largement satisfaisants en comparant les affreux effets numériques des petites productions de la chaîne SyFy.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image329.jpgL'intrigue apporte son lot de surprises, de scènes délirantes et de répliques amusantes, le tout soutenu par une petite touche d'originalité. On suit donc agréablement les péripéties de nos deux jeunes apprentis-zombies à travers des situations loufoques, dingues et complètement décalées, et c'est là où les réalisateurs voulaient en venir, un film décalé et original dans la lignée de "Shawn of the dead".

En bref, une agréable surprise pour cette comédie de zombie à la fois original et délirante remportant ainsi haut la main le challenge de faire rire.

Note : 8/10.

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19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 14:16

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image177.jpgQuatre garçons adolescents partent ensembles en vacance en Crète, dont seule leur première préoccupation à cet âge est le sexe et l'alcool. Tiré de la série télévisée britannique The Inbetweeners, les mêmes acteurs de la série joue leur propre rôle sur grand écran. Ils vont vivre des péripéties loufoques ainsi que faire des connaissances particulière qui vont changer leur présent et leur avenir. Dans un décor idyllique et paradisiaque les quatre jeunes amis enchaînent les gags à gogo, pas une seconde de pause lorsqu’il s’agit de s’amuser et pour seul objectif : sea, sex and sun …and sex !!

C’est l’histoire de quatre copains, Will, Simon, Jay et Neil qui partent en vacances en Crète à la fin du lycée et voilà que tout commence pour eux. Les quatre copains pensent ou plutôt sont obsédés par le sexe et la fêtes. Le sexe qui prend une place très importante dans leurs pensées à cet âge puis la fête avec tous ce qui va avec les filles, l’alcool, car à cet âge on pense que l’on s’amuse plus quand on boit pendant ce genre de soirée.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image232.jpg"Les Boloss", c’est un peu une autre version d’"American pie", on a les mêmes genres de gags et parfois il y a des similitudes identiques. Sauf l’humour qui est légèrement différente à celui d’"American Pie". Malgré leur humour décalé et particulier, on rigole et on se marre bien, je vous assure. Ce qu’il faut savoir c’est que "Les Boloss", à la base, est une série télévisée revue pour être adaptée en tant que film sur grand écran et que ce sont les mêmes acteurs principaux qui jouent dans la série et sur grand écran.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image327.jpgJe recommande de voir ce film pour s’en faire sa propre comparaison et idée. Moi personnellement, je préfère "American Pie" au film "Les Boloss" et surtout côté humour. Avis personnel... Je vous rassure, ce n’est pas un copier/coller de "American Pie". Non, ce sont bien "Les Boloss" que vous allez voir et pas une parodie ou autre chose. Comme je vous l’ai dit, il y a certes des similitudes néanmoins les gros points du scénario sont bien propres à l'histoire originale de la série.

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 15:27

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image324.jpgThor, puissant guerrier du royaume d’Asgard, s’apprête à hériter du trône de son père Odin mais une attaque des géants des glaces interrompt la cérémonie. Malgré le refus de son père, Thor décide de partir avec quelques guerriers sur la terre des géants afin de faire face à leur roi, Laufey. Une bataille s’en suit jusqu’à ce qu’Odin intervienne et vienne sauver les Asgardiens. Une guerre entre les deux royaumes vient d’être déclarée et Odin fut contraint au vu de l’arrogance de son fils de l’exiler sous l’apparence d’un mortel sur la planète Terre. Sur place il fera la connaissance d’une ravissante astrophysicienne et de son équipe qui feront tout pour l’aider à retrouver son marteau, source de son pouvoir, lui aussi envoyer sur la Terre. Sa quête lui fera prendre conscience de ses erreurs et lui permettra de sauver son peuple et l’humanité.

Basé sur la mythologie germanique, Thor est un film d’action comme Hollywood sait le faire. Kenneth Branagh s’en sort plutôt bien dans l’ensemble malgré quelques passages à vide. Les scènes d’actions sont spectaculaires, il en va de soi, mais le tout manque cruellement de naturel. Ces séquences ne sont là que pour gonfler le film en effets spéciaux. Le film se résumant en une alternance de scènes d’actions et de passages à vide, celui-ci durant près de 2 heures, j’ai eu du mal à rester attentif jusqu’à la fin du film tant certaines séquences m’ont paru inutile et sans intérêt.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image425.jpgMalgré ça, les amateurs de film fantastique trouveront leur bonheur dans cette odyssée spectaculaire amené par la séduisante Nathalie Portman et l’acteur australien Chris Hemsworth. On retrouvera d’ailleurs l’acteur dans le film de Joss Whedon « Avengers » dont la sortie est prévue pour avril prochain et qui interprétera le même personnage.

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 14:34

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image172.jpgL'année scolaire venant de se terminer, un groupe d'adolescents décident de partir vers une île au beau milieu d'un immense lac salé en Louisiane sur la propriété d'une leurs amies pour y vivre des vacances reposantes et surtout festives. Mais, ce qu'ils ignorent, c'est qu'un certain nombre de requins affamés et de différentes espèces ont pris possession du lac bien décidés à dévorer tout ce qui se trouve sur leur chemin...

David R. Ellis, réalisateur de "Destination finale 2", "Cellular", "Des serpents dans l'avion" et du récent "Destination finale 4", nous plonge cette fois-ci dans les profondeurs d'un lac de Louisiane avec de terribles squales mangeurs d'hommes à grands renforts d'effets visuels un peu trop kitch à mon goût à la limite d'une mauvaise production de SyFy. Néanmoins les effets spéciaux (je parle bien sûr des effets spéciaux mécaniques) sont, en revanche, plus réussis et certaines scènes d'attaque sont impressionnantes (exagérées peut être aussi). Une petite anecdote sur David R. Ellis : il a déjà eu affaire aux requins car il était le réalisateur de seconde équipe dans le film "Peur bleue" sorti en 2000 et réalisé par Renny Harlin.

Pour le casting, rien de bien extraordinaire, des corps bronzés et musclés pour les hommes avec en outre Dustin Milligan ("Les Messagers" en 2007) et de ravissantes et jeunes demoiselles pour le côté féminin avec, en tête d'affiche, Sara Paxton vu récemment dans la comédie romantique de fin d'année 2011 "Happy New Year". Stéréotypés à fond mais, une chose est sûre, dans ce genre de production c'est une chose normale voire banale...

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image231.jpgCôté scénario, malgré certaines scènes "clichées" respectant en fait les codes de ce genre de film pour ados, l'ensemble tient la route et réussit habilement à s'éloigner de l'intrigue banale que l'on aurait pu s'attendre (en règle générale bien sûr). Un suspense qui va crescendo avec un final des plus réjouissants car, oui, messieurs, mesdemoiselles et mesdames, amateurs de films de requins et grands fans de la saga "Jaws", nous avons droit à l'attaque (en 3D s'il vous plaît) du terrible tueur des "Dents de la mer".

Parlons de la 3D qui apparemment prend une place prépondérante dans le film étant donné qu'il est précisé dans le titre lui même. Et bien, très déçu, il s'agit de l'exemple flagrant de film qui utilise la 3D en post-production uniquement pour ajouter une plus-value au film pour aller le voir en 3D dans les salles équipées au cinéma. Conclusion : les effets 3D ne se résument qu'à certains éléments numériques ajoutés en post-production pour faire marcher la 3D. Ni plus, ni moins...

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image323.jpgBref, un thriller horrifique intéressant mais pas exceptionnel qui plaira aux grands amateurs de requins et de films pour ados, l'occasion pour se retrouver entre amis et de bien rigoler de voir de jeunes gens se faire dévorer les uns après les autres par les terribles "Dents de la mer"...

Note : 6/10.

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14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 14:56

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image170.jpgCésar est un gardien d’immeuble toujours disponible, efficace et discret. Disponible pour s’immiscer dans la vie des habitants jusqu’à les connaître par cœur ; discret quand il emploie ses nuits à détruire leur bonheur ; efficace quand il s’acharne jusqu’à l’obsession sur Clara, une jeune femme insouciante et heureuse…

Bienvenue dans un monde immoral... Le personnage principal, César, est dans la perversité totale dans ses actions secrètes pendant la nuit car il est là normalement pour la sécurité des locataires en tant que concierge de son immeuble, mais voilà parfois ça ne se passe pas comme on le voudrait. César serait-il le diable en personne ou un simple serviteur ou encore un fou. Il se réfugie dans un monde de tristesse avec pour occupation de faire le mal pendant ses journées d’ennui. Alors que d’autres font le bien… mais pourquoi césar agit-il comme cela vous le découvrirait dans la suite du film. La philosophie de César est simple : puisque je suis triste, le monde doit être triste. Le personnage de Clara, fille épanouie, catalyse toute la méchanceté du concierge qui ne sait, en définitif, si il l’aime ou s'il la déteste. Après l’avoir harcelé par lettres et SMS tout en jouant les attentionnés au quotidien, il se cache dorénavant sous son lit le soir venu puis, après l’avoir droguée, se couche près d’elle, utilise sa brosse à dent, dépose des larves de cafards pour se venger, empoisonne ses cosmétiques, et bien plus encore... 

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image230.jpgLe film percute dans l’utilisation qu’il fait d’un quotidien censé rassurant et qui devient, au final, l’objet de doutes constants. Le fond de l’histoire n’est certes pas original, mais la forme, les rebondissements, comme le traitement psychologique de tous les protagonistes de cet immeuble chic sont de qualité. Ce film est interdit aux personnes sensibles mais par contre c’est un film à voir pour les personnes qui apprécie les films où la psychologie est en jeu et surtout ceux qui aime les thrillers.

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 18:47

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image166.jpgPendant la traversée d'un pont à bord d'un bus, Sam Lawton, accompagné de ses collègues, est victime d'une terrible vision où il était témoin de l'effondrement du pont et de la mort de tous ses amis ainsi que de lui même. Aussitôt pris de panique, il avertit tous le monde de sortir du bus et de s'éloigner le plus possible de l'édifice. La catastrophe survient alors devant leurs yeux. Plus tard, un premier accident survient sur l'un des survivants du terrible drame provoquant sa mort. Puis un second. Sam enquête sur les morts suspectes et finit par trouver l'étrange raison : la mort vient les prendre un par un...

On aurait pu penser à un essouflement de la saga après déjà quatre épisodes plus ou moins réussis mais les scénaristes ont finalement pensé à un cinquième épisode (et peut être le dernier ?) comportant une petite pointe d'originalité (une toute petite). Dans la forme, rien d'exceptionnelle, toujours les mêmes choses, de nouveaux personnages donc de nouveaux acteurs, une nouvelle vision, une nouvelle catastrophe, des survivants, des accidents toujours aussi bien élaborés et recherchés (de plus en plus gores aussi) et un final certes un peu moins banal mais qui s'avère classique dans la série des "Destination Finale"...

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image229.jpgParlons un peu des effets spéciaux et de la scène de l'effondrement du pont. En règle générale, pour chaque épisode, le terrible drame qui survient aux protagonistes doit être élaboré, spectaculaire et sanglant. Ici, défi réussi. Les effets visuels sont saisissants, les maquillages pour les scènes d'horreur le sont tout autant et la 3D est habilement utilisée pour certaines scènes clés du film. Côté donc technique, pas grand chose à redire par rapport aux précédents volets... Avec le temps, je constate même une nette amélioration. En ce qui concerne la forme, comme je l'ai précisé au tout début de cette critique, excepté une touche d'originalité par ci par là, pas d'amélioration ni de réelles surprises en vue. On voit bien que les scénaristes ont voulu apporter quelque chose de nouveau dans cet épisode (vous saurez quoi quand vous le verrez) mais au bout du compte, on n'y gagne pas beaucoup et le film finit par lasser au bout d'un certain temps. 

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image322.jpgPour conclure, Destination Finale 5 surprend un peu de par son petit grain d'originalité et sa qualité au niveau des effets gores et visuels (un fabuleux et spectaculaire effondrement de pont) mais s'avère au final lassant. Pour les fans de la saga et les amateurs de soirée à pop corn...

Note : 5/10.

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 14:24

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image162.jpgDeux jeunes enfants solitaires découvrent, à travers leur regard et leur imaginaire, un royaume secret à la fois merveilleux et inquiétant enfoui dans une mare abandonnée. Ce lieu va les réunir à jamais...

L’histoire raconte les vacances d’été d’un jeune garçon, il est à la campagne chez les cousins de ses parents, seul. Il va alors découvrir une mare un peu cachée de tous où il va passé la plupart de son temps. Il finit par se rendre compte qu’il n’est pas le seul à y venir, une petite fille vient aussi dans cet univers. Les deux enfants ont une vision différente des choses, on a le garçon un peu admiratif qui touche à rien et qui regarde, et de l’autre côté la petite fille qui joue avec la nature comme s'il s'agissait d'un de ces jouets. Au milieu de ces scènes d’enfants muettes, on plonge dans la partie documentaire. Il se compose ainsi de scènes en relation avec cette fameuse mare un peu cachée de tous les regards. On va croisé toute la vie autant végétale qu’animale. Les scènes avec les insectes sont mises en comparaison avec la vie humaine. Une très bonne idée d’avoir ajouté cette touche d’humour sonore. Le film mélange le monde de l’enfance et son imaginaire, les sentiments face à la nature, l’univers merveilleux que cache la mare. 

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image321.jpgJe n’ai pas vraiment aimé cette partie fiction où la voix off raconte son enfance, j’aurais préféré une aventure plus documentaire et en apprendre plus sur ce monde caché. 

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image423.jpgCe film n’est pas mauvais, d’autant qu’il ne dure pas longtemps et que la partie sur les enfants est courte mais j’aurais aimé voir davantage de belles images sur cette faune et cette flore.

Note : 6/10.

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 14:50

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image228.jpgNathalie a tout pour être heureuse. Elle est jeune, belle, et file le parfait amour. La mort accidentelle de son mari va couper son élan. Pendant des années, elle va s'investir dans son travail, se sentir en parenthèses de sa vie sensuelle. Mais subitement, sans qu'elle comprenne vraiment pourquoi, elle embrasse un de ses collègues. Markus, un homme très atypique. S'ensuit alors la valse sentimentale de ce couple hautement improbable qui va susciter interrogation et agressivité au sein de l'entreprise. Choisit-on vraiment par quel moyen on renaît à la vie ? Nathalie et Markus vont finir par fuir pour vivre leur histoire et leur émerveillement à l'abri de tout. Cette histoire de renaissance est aussi celle de l'étrangeté amoureuse.

Le film "La Délicatesse" est tiré d’un roman. C’est l’histoire d’une jeune femme joué par Audrey Tautou, qui file le parfait amour puis son mari décède. Deux ans après, elle doit revivre, refaire sa vie avec courage mais il y a toujours des gens pour la juger. Ce film dénonce l’intolérance et la cruauté que peut avoir les gens sans vous connaître et pire quand il vous connaisse et ils vous donnent des conseils que parfois il ne faudrait pas les prendre en compte, faire vous-même votre avis.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image320.jpgEnfin elle rencontre un homme paumé comme elle, pas sûr de lui, assez timide. Et ils se décident enfin à sortir ensemble et voilà le compte à rebours de l’amour lancé. C’est un film romantique, divertissant et triste à la fois. Triste pour le début de l’histoire mais ensuite c’est un film divertissant, car il permet de passer un bon moment de détente, accompagné de musique, attention ce n’est pas une comédie, ni une comédie musicale, juste pour se changer les idées, rien que pour savoir la fin de leur histoire et surtout pour savoir comment ça va se finir entre eux deux. Romantique par rapport à ceux que nos deux amis vont devoir affronter pour vivre ou pas leur amour. A vous de le découvrir, je ne vais pas vous dire la fin du film, si vous voulez la savoir, vous devrez aller voir le film. "La Délicatesse" n’est pas un film où l’on doit réfléchir pour connaître la fin mais juste se laisser transporter et parfois cela fait du bien de regarder ce genre de film.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image422.jpgRegarder ce film et vous comprendrez pourquoi je dit cela. De préférence à visionner entre copines ou seule car à mon avis, je ne pense pas que les hommes vont apprécier ce genre de film après, je ne sais pas, certains hommes peuvent apprécier. Attention aux mouchoirs pour certaines dans le début du film.

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 14:43

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image158.jpgSmith, un jeune adolescent de 18 ans, mène une vie tranquille sur le campus de son université avec sa meilleure amie Stella, sa petite amie, London et Thor, son sexy colocataire dont il est secrètement amoureux, jusqu'à une nuit où tout va basculer. Victime d'une hallucination suite à l'ingestion de space cookies à une fête : il est persuadé qu'une jeune femme sur le campus, s'est fait sauvagement poignardée sur le crâne par de mystérieux individus masqués en têtes d'animaux. Souhaitant connaître la vérité, le jeune homme va plonger dans une histoire totalement dingue et surprenante qui changera non seulement sa vie mais aussi le sort de l'humanité.

Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore le réalisateur Greg Araki, il s'agit d'un homme à part entière avec des oeuvres qui le sont tout autant. Prenez par exemple l'étonnant "Mysterious Skin"avec Joseph Gordon-Levitt, un film brutal, choquant mais intelligent, très bien construit et interpretté dignement par des acteurs très talentueux (Levitt en haut de l'affiche). Ici, avec "Kaboom", on retrouve la signature du maître Araki, une oeuvre originale et sexy, qui ne ressemble à rien d'autres de connu et qui, dès les premières minutes, annonce indéniablement à quoi on a affaire... Le film est sorti en 2010, alors pourquoi en parler maintenant... Et bien, la réponse est simple, il mérite d'être sur ce blog car "Kaboom" est atypique et une fois visionné, on n'en sort pas indemne...

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image159.jpgLe réalisateur nous plonge dans un univers dérangé avec une histoire de dingue mêlant tous les genres du fanstastique à l'horreur en passant par le film d'adolescents plus ou moins classique. Mais là où Araki surprend c'est par l'originalité de l'histoire et son final des plus étonnants... Au niveau du casting, on retiendra l'interprétation épatante et surtout excellente (dans un rôle qui n'est pourtant pas facile) de Thomas Dekker vu dans la série "Terminator : Les Chroniques de Sarah Connor" et le film "Freddy - Les Griffes de la nuit" parmi tant d'autres.

En gros, "Kaboom" se révèle être un mélange réussi de "Donnie Darko" pour l'originalité de l'intrigue et de "Les lois de l'attraction" pour l'histoire parralèle traitant des expériences sexuelles de jeunes adolescents se découvrant eux mêmes. Stupéfiant et parfois choquant bref un nouveau "Araki's movie" parfaitement dans les règles.

Note : 7,5/10.

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3 janvier 2012 2 03 /01 /janvier /2012 15:13

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image520.jpgCela se passe pendant l’été 1979, un groupe de jeunes amis, dans une petite ville de l’Ohio, sont témoin d’un terrible accident de train alors qu’ils tournaient un film en super 8 dans une gare. Ils vont vite remettre en doute la thèse de l’accident. Peu de temps après, des disparitions inhabituelles et des évènements inexplicables se produisent dans la ville, et le député local tente de découvrir la vérité. Quelque chose de plus terrifiant qu’ils n’auraient imaginé.

Dans ce film, nous avons des flashbacks, souvenirs d’un enfant qui a perdu sa mère et qui se raccroche à une photo dans un médaillon qui porte toujours sur lui. Tout comme quand des enfants de 13 ans environ se retrouvent ensemble parce qu’ils ont décidé de tourner un film près de la gare de leur petite ville. Alors qu’ils étaient en train de tourner, tout à coup un train arrive, déraille à cause d’une voiture stationnée volontairement sur la voie ferrée. Et c’est à partir de ce moment que tout commence, les disparitions et les évènements inexplicables... L’histoire de "Super 8" est tiré un peu par les cheveux quand même, quand on y réfléchi bien... 

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image816.jpgMais bon, l'ensemble tient tout de même la route grâce en particulier à la réalisation maîtrisée de J.J. Abrams et des effets spéciaux spectaculaires très réussis. Un film à voir.

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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 17:38

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image226.jpgDans les années 1890, le contexte est celui d'une tension socio-politique entre la France et l'Allemagne. Des attentats terroristes surviennent sur le continent, on ne sait pas vraiment si c'est l'oeuvre d'anarchistes ou de révolutionnaires... Ces attentats masquent des assassinats de personnes influentes (grands dirigeants d'entreprise, industriels, ...) et Sherlock Holmes, assisté par son fidèle ami le Dr Watson, va enquêter sur qui est derrière tout ça. Selon Holmes, il s'agit du Professeur James Moriarty, un génie des mathématiques et éminent conférencier, admiré dans le milieu intellectuel.

Watson vient annoncer à Holmes qu'il va se marier avec Mary, et Holmes sera le témoin. Ce mariage est supposé terminer le partenariat entre les deux hommes, mais Holmes le regrette. A l'issue du mariage, le couple part en train en voyages de noces vers Brighton. Dans le train, les hommes de Moriarty vont perturber le trajet, heureusement Holmes était présent à l'insu de Watson, et il demande au Docteur de l'aider une dernière fois sur cette affaire. Watson accepte un peu à contre-coeur, ils placent Mary en sécurité chez le frère de Sherlock, Mycroft Holmes, puis font route vers Paris, première étape avant de se rendre en Suisse au sommet de la paix, où Holmes pense que Moriarty va encore frapper... 

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image319.jpgLe résumé que vous venez de lire est très restrictif, tant il y a d'éléments à prendre en compte. L'action se passe environ 6 mois après le premier film, c'est donc la suite logique, également réalisée par Guy Ritchie. Des acteurs évoluant dans des décors superbement soignés du 19ème siècle, de l'action, des rebondissements, une musique soignée (signée Hans Zimmer, qui avait déjà composé celle du premier opus)... Les amateurs d'action/thriller en ont pour leur argent ! A noter les prestations, outre celles des acteurs principaux (Robert Downey Jr et Jude Law), de Noomi Rapace, Kelly Reilly, Jared Harris et notre compatriote Thierry Neuvic, entre autres... Il y a aussi les fameuses scènes de ralenti, comme celles que l'on voit dans la bande-annonce, qui alternent avec des scènes d'action plus rapides... Cependant le côté "action" est trop mis en avant durant les deux heures de l'histoire, par rapport aux réflexions du détective, contrairement au premier film dans lequel le côté déduction/énigme/enquête était davantage exploité.

http://i48.servimg.com/u/f48/16/38/28/65/image420.jpgUne adaptation fort américanisée donc, du célèbre héros de Sir Arthur Conan Doyle, au budget pharaonique (125 millions de dollars !), mais qui se laisse agréablement regarder si on est fan de films d'action (je pense que j'ai cité ce mot suffisamment, non ? ;-) ). Warner Bros a annoncé qu'un Sherlock Holmes 3 est déjà en préparation !

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