Des retraités britanniques partent en Inde, où la vie est moins chère. Ils arrivent au Marigold Hotel, un palace dont des publicités leur ont vanté les mérites. Quoique le nouvel environnement soit moins luxueux qu'ils imaginaient, ils vont être transformés pour toujours par leurs expériences communes, découvrant que la vie et l'amour peuvent recommencer lorsqu'on laisse son passé derrière soi.
Pleine de vie, de couleurs et d'humanité, cette histoire nous transporte dans une culture différente de la nôtre, où les valeurs ne sont pas toujours les mêmes qu'en Occident, et les protagonistes réticents au début tombent sous le charme de ce pays, si bien qu'ils voient les choses différemment et décident d'y rester et d'aider à continuer de faire vivre l'hôtel. L'humour (anglais) est présent à plusieurs reprises et la belle brochette d'acteurs (jeunes et moins jeunes, connus ou pas), sont tous formidables dans leur rôle respectif. Adaptée du roman "Ces petites choses" ("These foolish things") de Deborah Moggach, il s'agit d'une comédie dramatique sans prétention qui ravira la plupart du public.
Note : 8/10.
Dix ans se sont écoulés depuis que Persée, demi dieu et fils de Zeus, a vaincu le terrible Kraken au terme d'une bataille héroïque qu'il a brillament remporté... Il vit désormais des jours paisibles en tant que pêcheur dans un village, s'occupant, seul, de son jeune fils de dix ans Hélius. Mais Persée ne se doute pas que les Dieux se sont lancés dans une lutte de pouvoir qui menace son existence paisible ainsi que celle de toute l'humanité. Affaiblis par le manque de dévotion des hommes, les Dieux risquent de perdre leur immortalité et de ne plus pouvoir garder le contrôle sur leurs redoutables prisonniers : les Titans et leur chef cruel, Kronos, père de Zeus, Poseidon et Hadès. Persée n'a pas d'autre choix que d'accepter son destin quand il apprend que Arès, fils de Zeus, et Hadès, s'allie à Kronos, lui même, pour capturer le roi des Dieux afin de lui prendre ses pouvoirs... 
Là où déçoit "La colère des Titans", c'est par son manque "cruel" d'originalité mais, nous savons tous que ce genre de films est destiné à en mettre plein la vue sans penser par la case : recherche scénaristique... Enfin, il n'empêche que le but est atteint : ce second volet est plus spectaculaire que le premier et les effets spéciaux sont tout simplement renversants... Chapeaux !!... 
Ben est un jeune garçon juif d'une vingtaine d'années, qui revient à Paris après une longue période à New-York. Lors d'une soirée, il fait la connaissance d'Alex, un des présentateurs du Breakfast Club, une émission matinale sur Blast FM, la radio n°1 en France. Ben est invité à passer au studio, à l'antenne, et rencontre les autres présentateurs : Cyril, un quadra mal assumé, et Arnold, le leader charismatique de la bande. Arnold, Cyril et Alex font la pluie et le beau temps sur Blast FM, leur émission cartonne et ils obtiennent tout ce qu'ils veulent. Très vite Ben est engagé : il écrira pour eux. Alors qu’il a à peine rejoint l’équipe en découvrant les délires de ses nouveaux "potes", un retournement de situation va se produire : suite à une virée dans un cinéma qui s'est prolongé jusqu'aux aurores, l'émission du matin n'a pas été assurée comme d'habitude, et l’audience du Breakfast Club est en chute libre, Blast FM a été rétrogradée au deuxième rang... Le patron de la radio les sermonne mais leur donne une dernière chance : au lieu de passer des vacances à Los Angeles, l'équipe devra sillonner les routes de France en bus pendant tout l'été pour rencontrer et reconquérir leur public. Dans cette épopée, des imprévus les attendent... 
Un film original sur une équipe de présentateurs radio. Oui, pourquoi pas ? J'ai toujours des réserves en ce qui concerne les comédies françaises... Dans ce cas il s'agit d'une comédie dramatique, et le résultat n'est pas mauvais. Chaque personnage a sa propre personnalité ; la plus belle prestation pour moi est celle de Clovis Cornillac, dans le rôle d'un animateur radio désabusé, gros fumeur, et qui ne vit que pour ce boulot. Le personnage de Ben (joué par Douglas Attal, le fils d'Yvan) manque de consistance à mon goût, il ne m'a pas convaincu totalement. Manu Payet quant à lui dans le rôle d'Alex est fidèle à son image de personnage comique... et vulgaire (il n'est pas le seul). Car la vulgarité est très présente dans ce film, ce qui m'a un peu dérangé je l'avoue, bien qu'elle ait sa raison d'y figurer. 
L'histoire nous fait passer par plusieurs émotions, des moments attendrissants, des moments de colère et de drôlerie. Les quelques gags par-ci par-là sont parfois drôles, parfois moins. Bien que la fin du film soit un peu "bâclée", je dirais, les rebondissements ne manquent pas et on ne s'ennuie pas à suivre la bande d'énergumènes dans leur voyage...initiatique. 
Dans le village de Chiquito, près de la forêt tropicale de Palombie, vit Pablito Camaron, un pseudo-vétérinaire quelque peu filou qui héberge des enfants abandonnés. En France, le journaliste Dan Geraldo est sur le point de se faire renvoyer, à moins de produire un scoop ; sa patronne lui propose un reportage/interview de la tribu des Payas, des indiens vivant dans la forêt de Palombie. Le guide de Dan sera Pablito, pour trouver le chef des Payas que Pablito connaît bien, et ensemble ils sont loin de se douter qu'ils vont être les principaux protagonistes d'une ancienne prophétie impliquant le mystérieux Marsupilami, et la fin du monde... 
La fin du film réserve une autre scène, émouvante et pleine de tendresse. Aussi, restez jusqu'à la fin du générique pour les "scènes bonus", et pour les plus courageux, lisez les textes du générique, il y a encore plein d'humour "Chabatesque" ! Sans être exceptionnel, cela mérite d'être un bel hommage à Franquin, que je qualifierais de très bon divertissement familial, à recommander en famille durant ces vacances de Pâques pluvieuses. 
En 2267, la Terre n'est plus habitable, son écosystème s'est totalement effondré et les hommes sont forcés d'habiter dans de petites stations surpeuplées. Leur seul espoir réside dans Rhéa, une terre fertile où il fait bon vivre et ou tous le monde souhaite reprendre une nouvelle vie. C'est ce qu'espère Laura Portman, jeune doctoresse, qui embarque à bord du vaisseau Kassandra à destination d'une station située à des années lumières de la Terre afin de la ravitailler en matériaux. Pour elle, cette mission lui permettra financièrement de partir pour Rhéa retrouver sa soeur. Le voyage sera long et ne va pas être de tout repos pour la jeune femme... 
Ce qu'il y a à retenir c'est que ce "Cargo" est un fabuleux voyage vers la science fiction pure et dure avec des effets spéciaux très réussis et qui ravira, je pense, les amateurs du genre. 
Dans un petit lycée du Texas, un groupe de jeunes constamment persécutés et humiliés par leur camarade de classe décident d'organiser un bal de fin d'année. Sélectionnés sur le volet parmis les jeunes les plus populaires du lycée, les invités vont donc se retrouver à l'extérieur de l'école dans une grange isolée en campagne et à la merci de leurs ravisseurs. Mais la fête va bientôt se transformer en cauchemar. Une fois drogués, ils vont se réveillés attacher les uns aux autres et pris en parti chacun leur tour pour subir les pires tortures. 
Nous sommes dans le futur, à Panem, dans les ruines de ce qui était autrefois l’Amérique du Nord. Panem est divisé en douze districts, dirigés par le Capitole. Le gouvernement du Capitole oblige chaque district à envoyer périodiquement un garçon et une fille âgés de douze à dix-huit ans, pour participer au grand évènement télévisuel : les Jeux de la Faim ("Hunger Games"). Ces "Hunger Games" sont un moyen de commémorer l'histoire des districts (autrefois au nombre de treize), et la bataille qui a mené à la destruction de l'un d'entre eux. Les enfants sont un "tribut" que les districts doivent "payer" au Capitole pour le remercier de sa bienveillance et sa protection, malgré les révoltes passées. Dans le 12ème district, le plus pauvre, la jeune Katniss Everdeen, 16 ans, se porte volontaire aux 74èmes Jeux pour sauver sa petite sœur de 12 ans qui avait été tirée au sort, alors qu'elle n'avait que peu de chances d'être désignée. Katniss part donc avec Peeta, le garçon qui a été désigné d'office avec elle pour ce district. Un seul des 24 concurrents survivra. Katniss a beaucoup d'habileté et de talents, elle peut gagner ces Jeux. Quels choix va-t-elle faire ? 
Mis à part que l'on s'attend à ce qui va se passer dans les grandes lignes (chutttt ! je ne dirai rien !), je trouve que les acteurs sont très bons, les décors et effets spéciaux sont plutôt réussis et la morale, ou la réflexion du moins, qu'on peut en tirer est assez intéressante ; en effet, une télé-réalité du futur, dans laquelle les participants enrôlés de force doivent s'entre-tuer pour gagner... Va-t-on un jour en arriver à cette dérive ? J'espère que non. 
Accrochez-vous, le suspense est prenant à certains moments, et les 2h20 passent plus vite qu'on ne le pourrait croire. Heureusement l'esprit du film est plutôt optimiste !... A noter que la fin laisse présager un deuxième volet, Wikipédia dit même qu'il y aurait 4 films en préparation pour adapter les trois livres... Le deuxième volet est prévu pour novembre 2013. A suivre de près ! 
Angleterre, 1921. Trois ans se sont écoulés depuis la fin de la première guerre mondiale. L'écrivain et scientifique Florence Cathcart, une des meilleures chasseuses de fantômes, est invitée par Robert Mallory à venir dans la campagne dans le pensionnat dans lequel il exerce le métier d'enseignant car la mort mystérieuse d'un enfant semble liée à l'apparition d'un spectre... Elle enquête et découvre que la cause de l'accident est bien réel jusqu'au moment où elle aperçoit, elle aussi, le fantôme sous l'apparence d'un petit garçon... 
Enfin, "La maison des ombres" s'avère être un bon petit film fantastique, efficace et flippant, qui mettra vos nerfs à rude épreuve. 
John Carter se retrouve transporté sur la planète Mars ou plus communément appellé Barsoom par les créatures qui y habitent au beau milieu d'une terrible guerre qui met en péril l'avenir des habitants de la planète. John, devenu guerrier, va se battre et faire tout son possible afin de faire cesser le conflit et prospérer la paix... 
Une remarque aussi, même si le film rappelle un peu des oeuvres comme "Avatar", "Stars Wars" et j'en passe, n'oublions pas que "John Carter" est l'adaptation du roman de Edgar Rice Burroughs (le créateur de "Tarzan") intitulé "La Princesse de Mars", premier volume du "Cycle de Mars" (ou "Cycle de Barsoom"), publié en 1912. L'histoire originale du film a dont été conçue bien avant les films cités précedemment... Dommage qu'ils aient attendu si longtemps avant de pouvoir l'adapter au cinéma... 
En bref, un sympathique divertissement familial dans la pure tradition de Disney soutenu par des effets visuels et des scènes d'action spectaculaires. 
Après avoir été en contact avec une mystérieuse substance, trois adolescents développent un pouvoir extra-ordinaire, celui de la télékinésie, la capacité de faire bouger des objets par la pensée. Ils l'utilisent tout d'abord pour faire des blagues à leur entourage et se rendent compte rapidement que leurs facultés grandissent au fur et à mesure qu'ils s'en servent. C'est alors que tout va basculer, Andrew, l'un des leurs, enfreint les règles qu'ils se sont instaurées et se sert de son pouvoir à des fins personnels sans penser aux conséquences. 
Au niveau du casting, on retiendra la présence de Dane DeHaan apparu dans la série "True Blood", Michael B. Jordan, un autre habitué des séries TV, en outre : "Dr House", "New York Section Criminelle", "Friday Night Lights"... Enfin, Ashley Hinshaw que l'on a pu voir dans la série "The Glades". 
En bref, "Chronicle" est une descente en enfer dans le monde de l'adolescence à la fois intense et spectaculaire renforcée par un réalisme saisissant à grands renforts d'effets visuels de toute beauté et d'une mise en scène soignée. Personnellement, mon coup de coeur du moment... 
Comme c'est écrit sur l'affiche : le destin d'un chanteur populaire. La vie de Claude François, de sa naissance à sa mort, en passant par les moments de gloire mais aussi les moments moins faciles, entouré de nombreuses femmes. 
Entre quelques anecdotes, le film montre qu'une grande partie de sa vie a été consacrée aux femmes. D'ailleurs s'il en a eu des "officielles", il y a eu aussi beaucoup d"à-côtés". Florent-Emilio Siri (aucun rapport avec Apple !!!), le réalisateur, fait passer l'image d'un homme qui voulait réussir sa vie (pour que son père soit fier de lui), être heureux et combler ses proches. Un homme généreux, mais aussi très maniaque et exigeant aussi bien avec lui-même qu'avec ses collaborateurs. C'est d'ailleurs cette obsession du détail qui lui a coûté la vie en 1978, comme chacun le sait. Le final est assez bouleversant et très respectueux, tout en finesse. 
Je ne suis pas resté jusqu'à la fin du générique mais je peux vous dire que la salle était comble et le public a applaudi. Bref, que l'on soit fan ou pas fan, c'est un excellent film, à recommander. 
Un groupe de cinq alpinistes partent en Ecosse pour escalader les montagnes. Au cours de leur escapade, Ed (Edward Speleers), un des alpinistes, va découvrir une jeune fille serbe qui était enterrer dans les bois. Ils décident de l'amener avec eux pour la conduire aux autorités. Mais Ils vont bientôt être pourchasser par les ravisseurs de la jeune fille qui vont tous faire pour la récupérer et toucher la rançon. Le petit groupe va s'apercevoir que ces personnes sont prêtes à tous pour arriver à leur fin. 
Huit ans ont passé depuis les derniers évènements survenus à San Venganza. Johnny Blaze, alias le Ghost Rider, erre toujours dans le désert seul afin de contrôler sa malédiction. Mais celui-ci va bientôt devoir reprendre du service lorsque des moines vont faire appel à lui afin de sauver un jeune garçon d'une terrible malédiction. L'enfant, porteur d'une prophétie, est recherché par le diable en personne afin de pouvoir ressusciter sur Terre. En échange de quoi, Johnny Blaze va pouvoir se débarrasser de sa terrible malédiction. 
Devenu transexuel, Bree accumule les heures de travail afin de payer la dernière intervention chirurgicale qui fera définitivement de lui une femme. Le grand jour approche, c'est alors qu'elle reçoit un coup de téléphone du commissariat pour lui annoncer qu'un adolescent cherche son père... Elle comprend alors qu'il est le résultat d'une relation hétérosexuelle sans lendemain avec une de ses amies rencontrée alors qu'il était encore un homme. Fragile émotionnement, Bree est suivi par une thérapeute qui lui conseille, voire lui oblige de rencontrer ce fils caché sans quoi elle n'aura pas la possibilité de se faire opérer... 
"Transamerica" repose aussi beaucoup sur l'interprétation sublime de l'actrice Felicity Huffman ("Desperate Housewives") qui nous montre avec conviction que son talent est inépuisable et sans limite. Mention tout aussi spéciale à l'acteur canadien Kevin Zegers que l'on a pu voir jouer dans "Dawn of the Dead", "Komodo", "4 Days" ou encore dans la saga "Air Bud"... 
Terminons enfin par la musique de Dolly Parton intitulée "Travelin' Thru" que l'on peut attendre au générique de fin, une chanson entraînante qui colle parfaitement à l'ambiance "so country" du film et qui aura été nommé aux oscars en 2006. Une musique qui restera graver dans les mémoires (ou les oreilles) et qui vous donnera envie de la chantonner dès le lendemain matin... 
Surnommé "Le pilote", un jeune homme taciturne conduit le jour à Los Angeles, dans des cascades en voiture pour des films, et la nuit pour des truands. Son manager propose à un malfrat notoire d'investir dans un véhicule pour que son poulain puisse affronter les circuits de stock-car professionnels. Cest alors que la route du pilote croise celle de ses voisins de palier : Irene et de son fils Benicio, pour qui il va devoir bafouer son code d'honneur. 
A réserver aux amateurs de courses (il y en a peu au final dans tout le film), mais surtout d'action et de violence. En sortant de la salle je me suis demandé s'il ne manquait pas une voyelle dans le titre : "D(é)rive"...! 
Une jeune femme, Laura, et son père, Wilson, s'installent dans une vieille maison afin de la rénover sur demande du propriétaire qui souhaiterait la vendre assez rapidement. Ils vont alors devoir passer la nuit avant de commencer les travaux très tôt demain matin. A peine les yeux fermés que Laura entend des bruits étranges au premier étage. Elle le signale aussitôt à son père qui décide d'aller voir pour la rassurer qu'il n'y a personne et qu'elle peut se rendormir. Malheureusement, il ne redescendra pas et la jeune femme commence à paniquer... 
A noter enfin la prestation très convaincante et très éprouvante de l'actrice principale Florence Colucci quand on sait qu'elle devait rester concentré dans son personnage, sans coupure, et cela pendant 78 minutes... Et bien, bravo ! 
Jacky Bonnot est un cuisinier hors pair. Il suit depuis ses débuts le chef triplement étoilé Alexandre Lagarde, célèbre cuisinier aux multiples restaurants dans le monde. L'épouse de Jacky, Béatrice, va bientôt donner naissance à leur premier enfant, et Jacky ne cesse de se faire renvoyer des établissements (brasserie, gargote...) dans lesquels il essaie d'être embauché comme cuisinier. En effet, sa cuisine ne séduit pas le public qui fréquente ce genre d'endroits... Il décide donc de prendre le premier travail qui se présentera, et devient donc peintre en bâtiment dans une résidence pour personnes âgées. Là il fait la connaissance de Chang, Titi et Moussa, les trois cuistots de la résidence. Il leur apporte des conseils culinaires... et bien que réticents au début, les pensionnaires de la résidence apprécient sa cuisine ! De son côté, Alexandre Lagarde est embêté... il est un peu en manque d'inspiration pour sa carte du printemps, et des critiques gastronomiques menacent de lui retirer une étoile... sans compter que ses deux seconds viennent de décrocher des contrats dans des grands restaurants d'autres pays, et que l'associé financier, Stanislas Matter, peut faire virer Alexandre s'il perd une étoile. Or, en venant rendre visite au père de Stanislas (Paul Matter) à la résidence dans laquelle Jacky repeint les fenêtres, Alexandre goûte la soupe, et est tout de suite conquis. Il propose à Jacky un stage dans son grand resto parisien, le "Cargo Lagarde"... 
Recette du film (non, je ne vais pas parler de l'aspect financier...) : Prenez un acteur comique (une cuillère de Michael Youn). Adjoignez-lui une "grande gueule" du cinéma (un bon Jean Reno). Mélangez le tout dans des décors de cuisines de restaurant parisien, avec quelques acteurs secondaires pour relever le goût. Saupoudrez de quelques gags ; incorporez de bonnes répliques. Pour une sauce classique, ajouter un soupçon d'histoire d'amour, et vous obtiendrez une bonne comédie familiale ! 
Car en effet, il s'agit d'une bonne comédie familiale sur la "course aux étoiles" et l'art culinaire, très en vogue ces temps-ci. Michael Youn est attendrissant dans son rôle de chef passionné, Jean Reno est égal à lui-même en chef étoilé en panne d'inspiration. Non sans rappeler "l'Aile ou la Cuisse" (avec De Funès et Coluche), le passage sur la cuisine moléculaire est très réussi ! J'ai bien ri. Pour tous publics, le spectacle est divertissant pour passer un bon dimanche après-midi. Je le recommande vivement, d'ailleurs la salle était pleine ! 
Après avoir été trahi par les Dieux de l'Olympe, Le roi Hypérion décide de lever une armée et de partir en guerre contre le peuple grec. Ce dernier a décidé de libérer les titans emprisonnés dans la montagne du Tartare afin de détruire les Dieux et l'humanité toute entière. Mais durant sa folie destructrice, Le roi va tuer la mère d'un tailleur de pierre qui va tout faire pour le retrouver et se venger. Aidé par une oracle, le jeune Thésée va entreprendre un incroyable voyage pour retrouver l'arc d'Epiros, la seule arme qui a la possibilité de libérer les titans. 
En ce qui concerne le réalisateur, Tarsem Singh, celui-ci a mis en scène une nouvelle version de "Blanche Neige" qui sortira sur nos écrans le 11 Avril prochain. 
Sept réalisateurs se penchent chacun à leur tour sur l'infidélité masculine et ses nombreuses variantes... 
Si vous comptez emmené vos plus jeunes enfants, attention il y a des scènes de nu qui peuvent heurter la sensibilité (pas de nu frontal, je vous rassure) et le film n'est même pas interdit au moins de 12 ans... le CSA, c'est devenu n'importe quoi ! Bref, vous l'aurez compris, je n'ai pas trop aimé. Si vous décidez cependant d'y aller, restez jusqu'à la fin... un final surprenant (bien que je m'y attendais un peu...) et une scène "bonus" après le pré-générique de fin sont prévus. 
Malgré tous les soucis qu'elle rencontre entre la perte de son job et un créancier qui vient de lui prendre sa voiture, Stephanie Plum ne se décourage pas et, n'ayant plus d'argent, tente le tout pour le tout en demandant à son cousin de l'engager dans son agence de cautionnement comme... chasseuse de primes. La jeune femme n'y connaît absolument rien et pourtant cela ne va pas l'empêcher de se lancer aux trousses de Joe Morelli, un ex flic suspecté de meurtre qu'elle a connu au lycée... 
Je me suis en général ennuyée sauf à certains passages. Mais il y a quand même beaucoup de clichés et surtout concernant les femmes à mon avis. Les scénaristes aurait dû se pencher plus sur l’histoire dans l’ensemble, plutôt que sur l’histoire d’amour qui unit, malgré eux, nos deux héros. Bref, un film distractif malgré quelques passages un peu ennuyants. 
Les Trois Mousquetaires, Athos, Porthos et Aramis, décident de s'unir avec le jeune D'Artagnan pour déjouer les plans du cardinal de Richelieu et de l'agent double Mylady de Winter qui tente de détrôner le roi de France en volant les bijoux de la jeune reine. Les Quatres Mousquetaires vont devoir tout faire pour retrouver ses bijoux et tenter d'éviter une guerre qui mettrait l'Europe à feu et à sang. 
Jake Sully, ancien marine immobilisé en fauteuil roulant, est recruté pour une mission spéciale afin de remplacer son frère récemment décédé. Il part alors sur la planète Pandora, située à des années lumières de la Terre, rejoindre un groupe de scientifiques dont les recherches portent sur le mystérieux lien qui unit l'écosystème de la planète à ses habitants, les Na'vi. L'atmosphère de cette planète étant toxique pour un simple humain, le programme "Avatar" a été spécialement conçu pour permettre à un humain de s'intégrer parfaitement à cet environnement nocif. Un hybride a donc été conçu à partir d'A.D.N de Na'vi et d'humains piloté par la simple volonté de l'esprit à l'aide de machines sophistiquées et permettant l'interaction entre le "pilote" et son avatar. Sous sa nouvelle forme, Jake peut de nouveau marcher et courir... En plus d'assurer la sécurité de l'équipe scientifique au cours de ses expéditions de recherche, l'armée lui confie la mission d'infiltrer les Na'vi car ils sont devenus un obstacle trop dangereux à l'extraction du précieux minerai destiné à régler le problème de la crise énergétique sur Terre. Mais Jake va se retrouver dans une situation bien délicate au moment où il va faire la connaissance de Neytiri, une jolie Na'vi, dont il va tomber amoureux... 
Là où çà coince un peu, c'est la légèreté du scénario, un peu simpliste à mon goût mais pour le moins efficace. James Cameron se concentre sur l'essentiel: la guerre contre les Na'vi et l'histoire d'amour entre Jake Sully et Neytiri. Même si le message écolo qu'il véhicule est porteur d'espoir, James Cameron réalise un film certe spectaculaire mais bas de gamme. Une histoire basique avec des gentils et des méchants. Quoiqu'il en soit, le réalisateur a compris la recette qui cartonne au cinéma puisqu'il prépare déjà deux suites dont la sortie cinéma est prévue pour 2014 et 2015. 
Sean, un ado ayant perdu son père et dont la mère s'est remariée, ne s'entend pas trop bien avec son beau-père Hank, entrepreneur en bâtiments. Sean s'est introduit dans un complexe satellite pour intercepter un message codé et a été rattrapé par la police... Ce message, selon Sean, est un appel à l'aide de son grand-père, disparu il y a plusieurs années. Afin d'essayer de bien s'entendre avec son beau-fils, Hank propose de l'aider à déchiffrer le message. Ils découvrent que le message dit que l'île existe, avec des indices pour la trouver. Hank décide d'accompagner Sean. Assistés d'un pilote d'hélicoptère et de sa magnifique fille au caractère déterminé, ils se lancent à la recherche de l'île, et ne vont pas tarder à découvrir une île mystérieuse qui ne figure sur aucune carte, une île qui recèle des formes de vie étranges, des montagnes d'or, de volcans meurtriers et bien plus d'un secret stupéfiant. 
Le jeune public appréciera les gags et les situations d'aventures, mais les plus cinéphiles ne seront pas satisfaits, à part les amateurs purs et durs de films américains "passe-partout". 
De retour en France après un parcours professionnel sans faille, Willy Vanderbrook, de nationalité Franco-Belge, rend visite à son ami Serge Luypaerts, Belge tenancier d'un café et installé à Paris. Suite à un entretien d'embauche dans un hôtel de luxe français qui a un peu mal tourné en raison de la nationalité belge de Willy, il décide, aidé par Serge et par quelques autres belges, de se faire passer pour Louis de Belgique, un héritier de la famille royale belge, accompagné de ses amis (conseiller, garde du corps, etc.). Le personnel de l'hôtel n'y voyant que du feu, ils profitent de la situation et vont même jusqu'à faire un scandale à cause d'un poil sur le homard qu'on leur a servi, suite à quoi le directeur de l'établissement leur offre de passer la nuit en guise de dédommagement. Lors de cette soirée plutôt arrosée, une certaine Jessica va séduire (être séduite ?) par Louis de Belgique (alias Willy), mais va finir par découvrir sa véritable identité... 
Sans être la comédie de l'année, je dirais en conclusion que c'est un moment de détente agréable, surtout en fin de journée pour décompresser. 
Après avoir servi comme soldat en Irak, le Capitaine Lance Deakin rentre chez lui, au Texas, retrouver sa femme, son ami et son ranch. Au bout de quelques jours, il est victime de maux de tête réguliers et s'aperçoit aussi que sa vitesse est décuplée. Souhaitant trouver des réponses, il finit par découvrir qu'il a été l'objet d'expériences secrètes destinées à créer des supers-soldats... 
