Angleterre, 1921. Trois ans se sont écoulés depuis la fin de la première guerre mondiale. L'écrivain et scientifique Florence Cathcart, une des meilleures chasseuses de fantômes, est invitée par Robert Mallory à venir dans la campagne dans le pensionnat dans lequel il exerce le métier d'enseignant car la mort mystérieuse d'un enfant semble liée à l'apparition d'un spectre... Elle enquête et découvre que la cause de l'accident est bien réel jusqu'au moment où elle aperçoit, elle aussi, le fantôme sous l'apparence d'un petit garçon...
Un direct-to-DVD pour cette histoire de fantômes dans un pensionnat pour garçons à l'époque des années 1920. Rien de bien original, à l'apparence seulement, car cette "Maison des ombres" est une agréable surprise qui aurait eu le mérite d'avoir sa chance d'être exploiter dans les salles. Ambiance fantômatique où les ténèbres envahissent chaque recoin des immenses pièces du pensionnant... Une atmosphère lugubre, un suspense et une tension palpable à chaque instant, un scénario réfléchi et bien construit, un final des plus efficaces, une mise en scène maîtrisée et des acteurs très convaincants (y compris les enfants...).
On trouve d'ailleurs au casting en tête d'affiche Rebecca Hall ("Le Portrait de Dorian Gray"...), Dominic West (récemment vu dans "Johnny English, le retour") ou encore Imelda Staunton ("Harry Potter").
Enfin, "La maison des ombres" s'avère être un bon petit film fantastique, efficace et flippant, qui mettra vos nerfs à rude épreuve.
Note : 7/10.
